Urbanisme transitoire, mixité programmatique… En accord avec son engagement dans le développement durable, le projet Enova soutient les pratiques propices à la mutualisation des espaces et au partage des services.

La mutualisation et le partage offrent de nombreux avantages dans un projet urbain, qui plus est quand celui-ci est engagé dans le développement durable. Ils permettent d’une part de limiter les besoins, et donc d’apporter une frugalité gage de respect de l’environnement. Ils favorisent aussi le rapprochement des individus autour d’un usage commun qui est source de lien social. Enfin, le foisonnement – occupation d’un même espace mais à des horaires différents selon les besoins, par exemple pour un parking – permet de partager les charges et d’atténuer certains coûts.

S’agissant d’Enova, plusieurs actions relevant de cette philosophie sont ainsi prévues :

Urbanisme transitoire

Cette démarche consiste à utiliser temporairement les espaces vacants d’un projet pour soutenir la vie locale. Pour Enova, il s’agira par exemple de mettre de futurs terrains aménagés à disposition d’un exploitant agricole, préalablement au lancement des travaux.

 

Services partagés

Des services partagés seront créés au sein du quartier. Créateurs de lien social, ils prendront la forme d’une aire de travail en extérieur connectée, d’une conciergerie ou encore d’un espace de coworking.

 

Agilité immobilière

Pour favoriser la durabilité des bâtiments, il sera demandé aux futures constructions des macro-lots d’intégrer un principe de réversibilité dès la phase de conception. On parle alors d’agilité des bâtiments, qui se retranscrira dans leur capacité à répondre à des besoins évolutifs. Ainsi, les bureaux seront modulables selon les besoins des entreprises et pourront même, si besoin, évoluer en logements.

 

Mixité programmatique

Bureaux, logements, commerces… La programmation urbaine d’Enova propose une diversité des fonctions propice à la mutualisation et au foisonnement des stationnements. Ainsi, certains macro-lots auront leurs stationnements partagés entre bureaux et logements, les uns et les autres ayant besoin de places de parking à des moments différents – et complémentaires – de la journée et de la semaine.